Maudites Vacances (9): Quand La Routine SInstalle
Je me réveille. Corinne nest déjà plus là, elle est partie faire des courses. Jonathan dort encore. Jai à peu près bien dormi cette nuit, mais je ne suis pas rassuré par la journée qui mattend. Jonathan va encore me faire cocu avec ma bénédiction, je vais encore devoir lui faire des gâteries. Je nai vraiment pas le beau rôle. Non seulement jai la honte de me laisser faire, mais je me sens minable avec ma petite bite de branleur pendant que Jonathan fait grimper ma femme aux rideaux plusieurs fois par jour ; en plus, je suis toujours inquiet à lidée que Corinne puisse me surprendre et découvrir ce que je suis : cocu excité, voyeur honteux, branleur refoulé et suceur inspiré. La totale ! Pas sûr que ça plaise à une femme de découvrir son homme sous cet aspect. Maudites vacances !
Je me lève, je vais prendre une douche pour me détendre et me réveiller. Leau chaude, le savon : mmmm, je profite de ce moment de douce sensualité, mais ça ne dure pas. Tout à coup Jonathan entre dans la salle de bains et sinvite sans me demander mon avis. La douche est spacieuse, mais je trouve quil aurait quand même pu me demander mon avis.
- Tu as raison, rien de tel quune bonne douche pour bien commencer la journée. Et une bonne pipe aussi ! Il ne faudrait pas perdre le rythme.
En fait, je suis devenu son esclave sexuel, ni plus ni moins. Une fois de plus je nai pas la force de répondre et dargumenter. Je ne dis rien, je le laisse mariner un peu. Mais avec Jonathan, tout est prétexte à revenir au même sujet. Il se savonne très vite partout, puis sattarde sur son sexe et me regardant fixement. Il commence évidemment à bander, car il sait ce que je vais lui faire. Quelle ordure, je narrive décidément pas à my habi !
- Tu vois, je te prépare le travail, je suis un vrai pote, non ?
Je comprends son langage à peine codé. Il se caresse la queue, et cette dernière se dresse déjà fièrement. Cest pas possible, ce type est une machine à bander.
Je suis devenu une vraie salope de suceuse. Tout y passe : les lèvres, la bouche, la langue et même un peu la gorge par moments. Jy mets aussi les mains pour ajouter du piment : des caresses sur les couilles et sur les fesses. Il est sous le charme : il soupire, il gémit, il grogne, il mencourage.
- Putain, ma salope, tu suces vraiment trop bien, jadore, oui, encore, cest ça
Je lai bien en bouche ce matin, il part au quart de tour. Je vais le mettre sur le gril et lui faire la totale. Un peu de savon, et je glisse dans la raie de ses fesses. Jarrive très vite sur son petit trou, je passe et repasse dessus, puis je lui rentre mon doigt dans le cul.
- Cest pas possible, où est-ce que tas appris des trucs comme ça ? Mmm
oui, cest super
Cest parti pour lui doigter le cul. Je sens quil va me supplier en gémissant dans quelques minutes. Ça va, cest moi qui maîtrise la situation : jen fais ce que je veux.
Quelques secondes plus tard, je suis dautant plus surpris quand il minterrompt et me relève. Que se passe-t-il ? Il napprécie pas le traitement ? Je ne comprends pas. Il est face à moi, il commence à prendre du savon et me tourne face au mur. Il me savonne les épaules. On fait quoi, là ? On va où ? On arrête ?
Quand je sens Jonathan qui descend sur mes reins et qui me savonne les fesses, puis qu'il passe un doigt dans ma raie et quil sattarde sur ma rondelle, je frissonne et sursaute.
- Non, mais
? Quest-ce-que tu fais ?
- Mais mon vieux, je fais comme toi : tu me mets un doigt dans le cul, je te rends la pareille.
Et, effectivement, la seconde daprès, le voilà qui me doigte le cul et qui vérifie létat de ma queue : pas de doute, jai la gaule. Il senhardit et me lime avec son doigt tout en me branlant. Je ne peux pas faire semblant. Je respire plus fort, je pousse des petits cris dindignation, mais ça na pas lair dinquiéter Jonathan qui continue de plus belle. Quand il retire son doigt, quil appuie sur mes épaules pour que je me penche en avant et que je sens sa queue raide qui glisse dans ma raie, je réalise vraiment ce qui mattend.
- Attends, cest bon, là ! Tarrêtes un peu, oui ?
- Jamais de la vie ! Tu bandes comme un âne chaque fois que tu me suces, tu me mets un doigt dans le cul et tu gémis comme une pucelle quand jen fais autant, jai compris ton jeu : tes comme ta femme, il te faut une bonne bite dans le cul pour te calmer, cest tout !
Il a calé son gland sur ma rondelle, il ma saisi les fesses et maintenant il les écarte tout en avançant son bassin.Cest pas possible ! Il veut définitivement me soumettre en me sodomisant, comme si ça ne lui suffisait pas de me cocufier et de mutiliser comme vide-couilles !
- Non, mais arrête, cest bon, jai pas envie !
- Menteur, je sais bien que tes quune salope, au fond. Je préfère baiser ta femme, mais je suis un vrai copain, je vais taider à te révéler et à tassumer. Tu vas sentir ma bite dans ton cul, ça te fera une expérience !
- Mais je tai rien demandé, moi ! Ohhh
!
Lespace dune seconde, jai eu un réflexe malheureux. Au lieu de serrer les fesses pour lempêcher de passer, je me suis détendu pour ne pas avoir mal. Ça y est, son gland a passé la barrière de mon sphincter et je me fais tout simplement enculer. Ce que Jonathan ne sait pas, cest que ce nest pas ma première expérience de ce genre. Je me suis déjà fait sodomiser plus dune fois et javais apprécié à lépoque. Simplement, je supporte mal de me trouver en état dinfériorité une fois de plus. Je me fais donc enculer par le mec qui me fait cocu, mais le plus humiliant, cest que sa bite me fait un bien fou : jai un plaisir immense à sentir sa grosse queue qui me rentre dans le cul.
- Tas le cul serré mais pas tant que ça, finalement. Je vais pouvoir comparer avec ta femme
- Salaud, tu ne crois pas que ten eu assez, non ?
- Ben non, justement. Baiser le mari après la femme, cest sympa, non ? Mais rassure-toi, je vais y aller doucement au début.
Je ne sais plus quoi faire. Il se met en marche et commence à me limer très lentement pour ne pas me faire mal, ce qui est une précaution inutile car je prends déjà un plaisir immense à me faire ainsi fouiller le cul et à sentir son engin qui coulisse si bien. Jessaie de cacher mon excitation et mon plaisir mais je crains bien que Jonathan ne se laisse pas berner longtemps. En voyant que je le laisse faire avec résignation et soumission, il accélère un peu le rythme et le résultat ne se fait pas attendre : je respire plus fort, je soupire et je lâche même quelques gémissements qui me trahissent. Jonathan a compris.
- Cest bien ce que je pensais : en fait tes une vraie salope, comme ta femme. Je commence à comprendre pourquoi tu bandes à chaque fois que je la baise ou que tu me suces. Tu apprécies ma queue, un point cest tout. Plus je te lime, et plus ça te plait, hein ? Tu vois, je suis sympa, je ten fais profiter.
- Ohhh
Tes quun gros dégoûtant, un vicieux, un obsédé
- Mmmm
Cest bien ça, on croirait entendre ta femme.
- Tu penses donc quà ça ?
- Ben, oui. Tant que ça marche, pourquoi se priver ? Et puis, baiser le mari après la femme, cest plutôt bandant, finalement. Un petit cul de salope en plus à limer, ça se refuse pas.
Ce mec est un monstre et moi je suis le dernier des derniers. Rien à faire, non seulement il dispose de moi à sa guise, mais jarrive de moins en moins à cacher le plaisir quil me fait subir. Quand je sens sa grosse queue qui va et vient dans mon cul, limage du mâle et de la femelle me submerge et cest la confusion la plus totale dans ma tête.
- Eh ben, ma salope, je le crois pas : tes fait pour te faire bourrer le fion ! Tas de la chance davoir un copain comme moi
Puisque taimes ça, tiens-toi bien, tu vas avoir droit au grand jeu, ma poule.
Je déteste la vulgarité de ces propos et pourtant je suis toujours plus excité par cette domination quil mimpose et par ses commentaires graveleux. Maintenant, Jonathan a encore accéléré : il me bourre comme une brute. Je pousse des cris à chaque coup de bite. Le plaisir monte au fur et à mesure que sa queue me fouille et que ses mains magrippent les hanches. Cest sûr, je ne suis plus quune belle salope qui se fait limer et qui encaisse avec volupté les assauts dun mâle qui veut se défouler et se soulager.
- Ouais
Cest tout bon, je te nique le cul
- Ahhh ! Ohhhh !
- Oui, cest ça, vas-y, gueule
Taimes ça, en fait
- Ahhh !
- Putain, jen peux plus, je vais te saillir comme une femelle. Oh, oui, je sens que ça vient
Tout en lâchant ses dernières forces dans la bataille, il se met à grogner et, dans la folie de léjaculation qui sapproche, il me tient dune main et me met une claque sur une fesse de lautre. Je pousse un cri dindignation, mais ça ne semble pas le gêner, au contraire. Il recommence de plus belle et commence à madministrer dautres claques sur les fesses. Dans la frénésie de lorgasme qui lenvahit et du plaisir qui commence à minonder, je ne sais plus ce qui marrive et je perds pied. Je crie à chaque coup de rein et à chaque claque, mais plus je fais ça, plus Jonathan interprète ça comme un encouragement pour aller plus loin ; du coup, il met la barre plus haut et continue à me traiter de tous les noms, à menculer sauvagement et à me considérer comme sa chose.
Le truc classique, mais bestial : il finit par sacharner sur moi comme une furie et quand il se bloque pour mengrosser comme si jétais sa femelle, je suis moi-même dans un état second, incapable de faire autre chose que de gémir continuellement comme la belle salope que je suis devenu.
Cette fois, ça y est : je sens sa queue qui se bloque et des jets de sperme chaud qui minondent le cul. Jonathan se vide de son air et de son foutre et, vaincu, décide de mentraîner dans sa folie orgiaque : son membre viril toujours planté en moi, il me prend la queue et me branle à toute vitesse pour que je le rejoigne dans lorgasme. Ça ne traîne pas et je finis à mon tour par juter en criant, un orgasme honteux me prenant en tenaille entre mon sexe et mon cul.
Le retour au calme se fait comme les autres fois : Jonathan fier de son coup et me faisant des compliments sur mes qualités de salope bonne à bourrer, moi honteux non seulement de lavoir laissé faire mais aussi (et surtout) dy avoir pris du plaisir.
Ce qui minquiète le plus, cest « leffet cliquet » ou « les avantages acquis » que Jonathan applique à chaque situation depuis le début de la semaine. Maintenant quil ma sodomisé, je crains bien quil ne décide de remettre ça, et je ne vois pas bien ce que je pourrai faire pour len empêcher. Bon, on verra bien, après tout, la journée ne fait que commencer
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10 h 30
Je me suis de nouveau éclipsé misérablement sous prétexte de faire un footing avant larrivée de la chaleur. Je suis à présent aux ordres de Jonathan et il me tient totalement en son pouvoir, alors je nai pas le choix. Autant que je lui laisse la place pour baiser Corinne, de toute façon je narrive pas à len empêcher.
Jai repris mon poste dobservation de la veille mais pour linstant il ne se passe rien. Jonathan reste immobile, allongé sur son transat, comme sil nétait pas intéressé par ma femme. Ça marche bien car cest finalement elle qui prend linitiative. Elle doit être vexée quil ne lui saute pas dessus comme un bouc en rut, alors elle sapproche de lui et commence à le provoquer, à le taquiner. Jonathan fait le mec blasé, ce qui a le don dénerver Corinne. Du coup elle sort la grosse artillerie : elle sassoit dabord sur les cuisses de Jonathan. Ainsi installée, elle peut mieux le dominer et lempêcher de bouger. Ensuite elle retire son haut de maillot pour quil puisse contempler ses seins qui ondulent au gré des mouvements lascifs quelle exécute. Pour être sûre de son coup, elle ouvre une bouteille dhuile pour le corps et commence à sen enduire les bras, les épaules, le ventre et, bien évidemment, les seins.
Je pense que Jonathan ne va pas tenir longtemps. Elle pousse des petits soupirs de salope en chaleur, mais il essaie de rester impassible, et il a apparemment du mal car une bosse se forme au niveau de son maillot. Corinne commence à jubiler : elle est rassurée sur ses charmes.
- Oh là là ! Moi qui croyais que tu voulais te reposer
Il y a décidément toujours une partie de ton corps qui narrive pas à rester au calme. Mon pauvre ! Il va encore falloir quon soccupe de ton problème
Elle se redresse, retire son bas de maillot avant den faire de même avec celui de Jonathan. Le sexe de ce dernier jaillit et se dresse pour la plus grande satisfaction de Corinne qui le regarde dun air gourmand. Elle se rassoit sur ses cuisses, et, le plus naturellement du monde, se met à le branler à deux mains en laguichant avec des mouvements sensuels. Jonathan a compris le message et, toujours allongé et immobilisé par le poids de Corinne qui est assise sur lui, il commence à soccuper de ses seins. Quelle salope ! Quand je pense que cest ma femme que je regarde, jai toujours autant de mal à my faire, même si ça mexcite comme les autres fois.
Quelques minutes de ce traitement et, en toute logique, Corinne finit par se redresser légèrement, juste de quoi guider la queue de Jonathan vers sa fente. Elle se rassoit et sempale sur la grosse bite de mon « copain » en poussant le soupir de satisfaction qui va avec. Me voici donc cocufié une fois de plus. Je sors mon sexe bien dur et commence à me branler. Cest encore ce que jai trouvé de mieux pour « faire baisser la pression », car jai envie dexploser, comme les autres fois. Je ne peux pas dire que japprécie de voir ma femme se faire baiser, ni même que je my habitue, mais presque
En tout cas, ce rituel me permet de prendre une forme de plaisir malgré tout.
Bon, je passe les détails : après vingt minutes à voir ma femme se faire limer et peloter les seins, à lentendre gémir et jouir comme la belle salope quelle est devenue (deux orgasmes coup sur coup ce coup-ci), la libération arrive : Jonathan finit par se lâcher dans son vagin et je limite presque aussitôt dans mon mouchoir. Corinne reprend son souffle, fière davoir pu se prouver une fois de plus quelle était irrésistible.
Jattends le moment propice pour quitter discrètement mon poste dobservation, mais je ne suis pas au bout de mes surprises. Corinne emmène Jonathan dans la piscine et les voilà qui se baignent sans même avoir remis leurs maillots de bain. Deux minutes plus tard, je maperçois que Corinne recommence à provoquer et taquiner Jonathan, et même à se moquer de lui :
- Oh, là là ! Comme cest dommage, ce petit machin encore si vaillant il y a quelques minutes
Au moment où ça devenait intéressant !
Elle parle évidemment du sexe de Jonathan, à présent au repos et dune taille beaucoup moins spectaculaire. Avec son esprit dà propos habituel, la réponse de Jonathan ne tarde pas :
- Que veux-tu ? Il a besoin de sollicitations. Il se sent seul et oublié
Piquée au vif, Corinne répond comme je le craignais : elle sapproche de Jonathan et se met en tête de le refaire bander. Pendant une fraction de seconde, jespère quelle ne va pas y arriver : après tout, il vient de la baiser il y a seulement deux ou trois minutes ; mais hélas, quand Corinne a une idée en tête
Toujours pire : cest la devise. Tout y passe : caresses, masturbation, branlette Espagnole, fellation. Quelques minutes plus tard, cest reparti pour une belle érection : Corinne à genoux à moitié dans leau soccupe de la trique de Jonathan qui, debout et rayonnant, profite du plaisir qui monte.
Pendant dix bonnes minutes jai droit au spectacle de Corinne qui sacharne sur la queue de Jonathan pendant que ce dernier se laisse faire avec ravissement.Il fait durer le plaisir pour ne pas éjaculer trop vite (facile quand on vient de baiser quelques minute avant !). Et puis, comme je my attendais, quand Corinne estime quelle a assez donné de sa personne, elle se met en place pour se faire ramoner une fois de plus, dans cette position quelle semble affectionner : assise au bord de la piscine, cambrée et la poitrine offerte. Jonathan ne se fait pas attendre. Il la prend sous les genoux, lui écarte bien les jambes et la pénètre une fois de plus.
Le rituel est préservé : en bon voyeur cocu que je suis, jai eu le temps de me remettre à bander et je commence à me caresser la queue tout doucement car jai un sombre pressentiment : je pense quil il va la limer pendant une éternité, surtout quil sait que je suis planqué en train de mater et de me masturber.
Je ne suis pas déçu : plus dune demi-heure de débauche, de sexe et de fureur (avec quand même quelques baisses de rythme pour reprendre leur souffle) ; plusieurs orgasmes sonores de la part de Corinne (cest pas possible cette nana ! Cest une machine à jouir ou quoi ?) et la panoplie qui va avec : changements de position, commentaires graveleux,
Quand enfin Jonathan jette ses dernières forces dans la bataille en la défonçant littéralement et en finissant lui aussi par un orgasme violent, je suis presque surpris. Je pensais que ces deux là baiseraient toute la journée sans interruption. Je machève aussi (je mets un point dhonneur à éjaculer aussi souvent que Jonathan, pour me prouver que finalement, dune certaine manière, jai autant de capacités que lui) puis, dès que loccasion se présente, je quitte mon poste dobservation.
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14 h 30.
Corinne est partie chez le coiffeur. Comme je le craignais, Jonathan a aussitôt exigé que je lui taille une pipe. Évidemment, il fait durer car il sait que nous ne risquons pas dêtre dérangés avant une heure ou deux. Ça fait bien un quart dheure que je le suce pendant que ce salopard commente la scène, mencourage, me donne des instructions, me félicite ou me traite de salope selon linspiration. Je ne me pose plus de question, je suis devenu aussi une bête de sexe à ma manière. Dailleurs, comme les autres fois, jai une érection significative qui conforte Jonathan dans lidée que je suis bien dans mon rôle. Nous sommes dans la chambre, cest plus confortable et ça limite les risques de se faire surprendre par un étranger.
Ce que je craignais depuis ce matin arrive : Jonathan a décidé de me faire subir loutrage ultime. Il interrompt ma fellation et mallonge sur le lit avec autorité. Une fraction de seconde jespère quil va me rendre la pareille, mais je déchante très vite : il prend un tube de gel, en met sur son doigt et me badigeonne la rondelle, menfonce un doigt dans le cul et se met en position pour me sodomiser.
Il saccroupit devant moi, me prend sous les genoux, mécarte les jambes et cale son gland sur mon anus. Quand il me pénètre en exigeant que je le regarde dans les yeux, je décèle en lui un plaisir sadique à la mesure de la honte que je suis obligé de subir. Je me fais sodomiser une fois de plus, et mon sexe tendu est impossible à cacher.
- Allez, ma salope, cette fois cest toi qui vas te branler pendant que je te lime. Regarde-moi bien dans les yeux, tu sens comment je tencule ? Oui, cest ça
Cest bien, comme ça
Je veux tentendre gueuler pendant que tu prends ma bite dans le cul.
Jobéis. De toute façon, cest encore le meilleur moyen de se tirer de cette situation, non ? Je me décide donc à me masturber pendant que la queue de Jonathan va et vient dans mon cul. Cest affreux : encore plus que ce matin, je suis incapable de cacher le plaisir que me fait subir Jonathan et cest ça qui me rend malade. Plus jai honte et plus je suis excité. Je laisse échapper des soupirs, puis des gémissements et enfin des cris. Le plaisir monte par ma queue et mon cul et je perds les pédales, du coup je gueule de plus en plus fort et Jonathan semble se délecter. Bizarre, quand même de se trouver dans cette situation pour deux hétéros, non ?
Je nai aucune envie de faire durer, et je veux que tout ceci cesse. Je décide donc dabréger cette scène et jaccélère le rythme. Je suis devenu un virtuose de la branlette et jarrive très vite à atteindre le point de non retour, mais la sodomie que minflige Jonathan décuple mon plaisir et le fait durer, si bien que je suis submergé par un orgasme qui dure plusieurs dizaines de secondes pendant lesquelles je me fais pistonner le cul en gueulant et en éjaculant sur mon ventre.
Jonathan semble apprécier le résultat obtenu et finit de me bourrer le cul en grognant et en me traitant de salope. Moi, je nai même pas besoin de me forcer pour assumer mon rôle : pendant quil me lime et bien quayant déjà éjaculé, je continue de ressentir un bien-être merveilleux au niveau de mon cul, pour mon plus grand malheur (ou bonheur ?).
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16 h 30
Corinne est rentrée de chez le coiffeur depuis une petite demi-heure. Moi, je fais comme hier, en prétextant quil fait trop chaud et que jai envie de faire la sieste au frais dans la chambre. Elle va finir par se douter de quelque chose, mais je nai pas trouvé dexcuse valable pour méclipser discrètement. Faudra que je trouve un truc nouveau pour la prochaine fois. Jai repris mon poste dobservation, planqué derrière les rideaux du salon.
Jonathan est parti à la cuisine, il revient avec un plateau et tout ce quil faut pour un goûter rafraichissant : fraises, chantilly, sucre
Quelques instants plus tard je découvre ce quil a en tête. Il compte simplement faire une variation sur le thème « sexe et gastronomie ».
- Cest lheure du goûter, je moccupe de tout, laisse-toi faire.
Corinne, allongée sur le transat, jette un coup dil curieux pendant que Jonathan sorganise. Elle pousse un petit cri suivi dun rire coquin quand Jonathan lui retire le plus naturellement du monde son maillot de bain. Pas de doute, il est vraiment le maître chez lui, et il dispose de ma femme à sa guise ! Je sens que je vais encore passer un mauvais moment.
La suite me donne raison. Jonathan a décidé de jouer avec la nourriture, en développant ce quil a fait lautre jour avec une glace italienne : badigeonner les seins de Corinne avec de la crème chantilly pour pouvoir la lécher ensuite. Dans le genre, il réussit plutôt bien son coup, car Corinne apprécie et lencourage en roucoulant, en riant et en soupirant. Par moments il prend une fraise quil trempe dans la chantilly, accrochant au passage le téton dun sein avec lequel il joue, puis il mordille ce dernier délicatement avant de soccuper de la fraise. Il recommence en y mettant du sucre, il lèche ensuite consciencieusement un sein en entier, puis lautre, et recommence avec des variations. Après avoir passé un bon moment à lécher les seins de Corinne, il soccupe de sa chatte, puis, comme il fallait sy attendre, Corinne lui rend la pareille en soccupant de sa queue. Il ny a plus de fraises, ils ont lun et lautre abandonné la chantilly et se contentent maintenant dune gastronomie naturelle en se finissant avec un 69 des plus classiques. À entendre les gémissements et les grognements des deux côtés, ils ont lair sacrément excités tous les deux. Au moins, comme ils ont la bouche pleine, je nai pas à entendre ces habituels commentaires que jai tant de mal à encaisser
Encore que le spectacle et les gémissements qui me sont proposés valent tous les commentaires du monde : cest chaud, cest très chaud ! Ils ont lair super motivés tous les deux pour faire jouir lautre avec leur bouche, et ça ressemble à une compétition de haut niveau.
Moi, comme dhabitude, je compte les points en me masturbant. En fait, lhomme à la queue de béton, cest moi ! Vu comment je bande, je crois que jai droit à une mention spéciale, non ?
Quelques minutes plus tard, cest la fin : Jonathan éjacule dans la bouche de ma femme, mais il na pas perdu la partie pour autant car Corinne est tout flagada : elle a encore joui comme une dingue et ça na échappé à personne, surtout pas à moi qui achève de me branler tout seul dans mon coin.
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18 h 30
Jonathan et Corinne mon refait le coup dhier : pendant que je lézardais au soleil, Corinne est soi-disant partie prendre une douche, mais comme Jonathan la suivie, je leur ai emboîté le pas discrètement pour mater. Ils sont dans la chambre, jentends leurs voix. La seule différence davec hier, cest que la porte est fermée et quil est en train de la tringler sans que je puisse voir quoi que ce soit. Je me sens incroyablement frustré. Je sais quil est en train de la baiser, mais même en regardant par le trou de la serrure, je narrive à rien voir. Je colle mon oreille contre la porte pour écouter. Au lieu dêtre soulagé, cest plutôt pire. Jai juste le son. Tout y passe : soupirs, halètements, gémissements, cris, feulements,
En définitive, le pire quand on est cocu, cest dentendre sans rien voir :
- Mmmm
Tes vraiment trop bonne à culbuter, toi !
- Ohhh ! Ahhh !
- Tes vraiment faite pour vivre à quatre pattes, ma salope. Oui, cest ça, jaime quand tu remues du croupion, ça me motive.
- Ohhh
Tu penses donc quà ça ?
- Ouais
Tes vraiment trop bonne, faut que je te baise. Avoue, taimes bien sentir ma grosse bite dans ta chatte, hein ?
- Ohhhh
- Réponds, espèce de salope, ten veux encore, hein ?
- Ohhh, ohhh
Oui, cest bon, continue
- Tinquiète, je vais bien te limer, tu vas encore avoir droit à une bonne bourre avant dîner, ma poule.
Je déteste quand il lappelle « ma poule », mais
que faire ? Comme dhabitude, je me remets à bander, et comme les autres fois, je recommence à me branler.
- Tiens, faut pas perdre les bonnes habitudes, je vais moccuper de ton cul, maintenant
- Espèce de salaud
Tes vraiment quun gros dégoûtant
Ohhh !
- Ça calme, hein ? Une bonne bite dans le cul, il ny a pas mieux, non ?
- Ohhhhh !
- Jaime bien tenculer : jai remarqué que ça te coupait tous tes arguments.
- Ahhh
Ahhhh !
- Toi, ma biche, tes faite pour la sodomie, il y a pas de doute. Tas de la chance, avec moi, tu vas être servie. Jai pas fini de tenculer, tu vas voir
- Hhhh
. Mmmm
- Voilà, cest bien. Oui, laisse-toi aller, je sais que taimes ça, au fond.
- Mmmm
- Cest ça, oui, cambre-toi bien. Tu y prends goût, hein ma salope ?
- Mmmm
Ohhh
Cochon
Oui, cest bon
Encore
Moins de dix minutes plus tard, au vu de la bande son, des gémissements, des cris et des grognements, je sens que cest la fin. Corinne se fait apparemment bourrer comme une chienne et gueule de plaisir. Cest insupportable. Je nen peux plus, je me soulage et jéjacule dans mon mouchoir. Je reste quelques instants encore et ça confirme ce que je pensais : eux aussi arrivent au bout. Jonathan pousse un long cri, puis le silence sinstalle. Je me sauve sans demander mon reste.
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23 h 00
Il y a eu un orage ce soir et Jonathan ne ma pas fait le coup de la balade au clair de lune. Jai craint le pire, mais finalement, il ne sest rien passé ce soir. On a dîné, on a regardé un film et tout le monde sest couché chastement. Ouf ! Je peux souffler. Quand je refais le compte de la journée, je comprends pourquoi tout le monde veut dormir : Jonathan a baisé ma femme quatre fois (dont une sodomie et un 69) et ma sodomisé deux fois. De mon côté, jen suis à deux sodomies passives et six éjaculations masturbatoires. Quand je pense que suis censé me reposer ! Finalement, cest sacrément long et fatigant, cette semaine de vacances
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